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Nine

5 février 2012

mon autre blog: "Une autre école"

15102011664

Ce matin, je parle en mon nom et je sors du cadre habituel de ce blog !

Après avoir révé ici , il est tout naturel de vouloir concrétiser là.

Je rêvais d'une école pour mes enfants, pour ceux des autres. Une école qui me ressemblerait.

Je vais essayer de la mettre au monde.

Je crée donc un nouveau blog pour pouvoir mener à bien ce projet. Pour avancer, pas à pas, j'y mettrai mes écrits, mes observations, mon cheminement. J'y partagerai mes réflexions sur l'éducation. Je les mêlerai aux vôtres.

Je voudrais que vous puissiez participer.
Qu'est ce qui serait important pour vous, dans une école? Quelles valeurs que n'offre pas notre société vous souhaiteriez y trouver? Quelle serait votre école idéale?

Moi j'aimerais une autre école. Une école ouverte sur le monde, une école ouverte sur les autres. Ca commence ici: http://uneautreecole.canalblog.com/, aujourd'hui.

Merci de me suivre!

Mon chemin de pensée ne conviendra pas à tout un chacun. Je ne cherche pas une école qui plaise à tous, mais une école qui me permette d'exprimer ce que j'ai en moi à transmettre aux autres.

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29 janvier 2012

Dimanche 29 Janvier 2012

Bon dimanche à tous!

Une deuxième vidéo cette semaine et beaucoup moins d'écriture... 

Cette dernière chanson est pour Mathieu, fan de Jean-Jaques Goldman à ses heures! Il y a 11 ans aujourd'hui que l'on s'est embrassé pour la première fois. 11 ans de hauts, 11 ans de bas. De bas très très bas, de hauts à reconquérir chaque jour qui passe. Et la route est encore devant nous !

Alors voilà, aujourd'hui, je l'avoue, je n'en suis pas toujours très fière mais je l'avoue quand même, Goldman, il a certaines chansons qui me plaisent, qui me parlent, qui me touchent, même parfois qui me font couler une larme. Voilà c'est dit :)

Faut dire que j'ai été à bonne école puisqu'en classe de CM1 CM2 toute notre classe a baigné dedans grâce à un certain maître guitariste et chanteur sur les bords :)

Et ça ça laisse des traces!

Bonne écoute à vous et à dimanche prochain,

 

Voici les liens de la semaine

- Flâner (Aimer): une ode à Paris la belle

- Vancouver, Véronique Sanson, reprise piano et voix

 


les p'tits chapeaux, Jean-Jaques Goldman

26 janvier 2012

Vancouver, Véronique Sanson

22 janvier 2012

Le Rite du Dimanche arpès-midi

Bonjour à tous,

Petit à petit je m'organise (en famille!) et maintenant je me suis dégagée 2 journées pleines par semaine pour travailler, le vendredi et le dimanche. Ca me permet de me concentrer de longues heures sans être interrompue. ca me donne le temps de penser, d'avoir des idées, des envies, de les digérer et de les mettre en mots :) ça me change la vie.

Les courriers des maisons d'éditions arrivent en force en ce moment (réponses négatives). Il me reste peu d'espoir de ce côté-là (seules 5 maisons d'éditions n'ont pas encore répondu).

Le point positif, c'est que je commence à faire le deuil de ce premier roman, je le garde de côté, il continue de m'accompagner, mais l'envie me revient d'écrire autre chose, autrement. Je ne sais pas encore si j'aurai à nouveau la force et la capacité d'écrire un livre en entier ( je me dis avec le recul que c'est un miracle d'avoir réussi à mener ce permier projet au bout!) mais en tous cas l'envie est là. C'est un excellent début donc!

Je vous propose un extrait archi connu du Petit Prince de Saint Exupéry pour accompagner mon message. C'est le Renard qui parle:

" Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince:
-S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il.
-Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
-On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis.
Si tu veux un ami, apprivoise-moi !
-Que faut-il faire ? dit le petit prince.
-Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'oeil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...

Le lendemain revint le petit prince.
-Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après- midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le coeur. Il faut des rites.
-Qu'est-ce qu'un « rite » ? dit le petit prince.
-C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit le renard. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures."

Bienvenue au rite du dimanche après-midi et laissez-vous apprivoiser :)

 

Cette semaine sur le blog:

 Basculer. (Etre) : Une femme seule dans les rues endormies.

 Réaliser. (Etre) : C'est court mais c'est bon, comme d'avoir 20 ans (dixit mon ami Chameau !)

Ecrire (Rêver) ou se retrouver face à son écriture

+ Une nouvelle chanson: 

Cécile, ma fille de Claude Nougaro (Jouer): Piano Voix.

En vrai, j'avais posté deux fois la même chanson cette semaine, car la première fois, je n'étais pas satisfaite, et vos commentaires m'ont permis de la retravailler. Là, ça me correspond mieux :) même si y a encore du boulot pour m'en imprégner complètement.

Sinon, je continue les démarches pour trouver un lieu sur Paris où jouer en public. Je ne sais pas trop comment m'y prendre. Etant donné que j'ai 3 enfants en bas âge, je sors peu et je connais donc peu d'endroits... :) De plus, je n'ai aucun contact!

Alors pour le moment, j'envoie par mail le lien vers mon blog à des salles de cafés concerts. Mais je n'ai aucun retour. Ce n'est sans doute pas une manière de faire très efficace... affaire à suivre!

 

Bonne visite, Bonne lecture,

et à dimanche prochain!

Géraldine

20 janvier 2012

Cécile ma fille, Nougaro. 2àme prise

après vos différents commentaires j'ai voulu aller plus loin avec cette chanson qui était loin d'être satisfaisante pour moi.
Résultat, j'ai attaché mes cheveux ;), changé l'angle de vue, atténué le contre-jour (ça c'est juste le côté esthétique basique!) et surtout, surtout j'ai essayé que ça swingue un peu plus! pour ça j'ai compté en ternaire.


Alors, vous en pensez quoi?
Moi, je la trouve plus punchy celle-là, je pense la garder plutôt que l'autre.

Une petite pensée en passant pour la maraine de ma fille qui porte ce prénom magnifique :) 


Cécile, ma fille. Claude Nougaro.

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20 janvier 2012

Ecrire

Je ne sais pas écrire. Je n’y arrive pas.
Je veux dire. Je ne sais pas vraiment raconter des histoires. C’est un fait. Mes essais sont fades et convenus parce que je ne sais ni inventer ni sortir de moi-même. Je ne sais pas briller. J’espère que vous n’êtes pas déçus.

Rien à inventer.
Je ne sais pas mélanger, broder, brouiller les pistes. Je ne sais pas travestir.

Si je ne raconte pas des histoires alors je dis la vérité ?
C’est pourtant dommage de ne pas mentir parfois. Et c’est plutôt indécent de parler de moi. Qui ça peut bien intéresser ?
Je pourrais parler des autres. Mais de quel droit ? Je n’aime pas parler à la place des autres.

Je ne veux pas parler des gens que je connais. Leur vie ne m’appartient pas.
Je ne sais pas parler de ceux que je ne connais pas. Trop loin de moi.

Alors je me parle à moi-même. En ne partant de rien. Juste de ce qui me vient. Je dessine des visages vides sans fin. Comme je vide mon esprit.
Au début, il n'y avait rien. Et puis il y eut le verbe.

J’écris comme je parle. Je parle comme je vis. Difficilement. Entièrement. De tout mon être.

Ecrire, c’est simplement vivre. Et retranscrire. Se rapprocher de soi-même pour atteindre les autres.
Et plus j’écris, plus je deviens translucide. On entre en moi à livre ouvert.

D’ailleurs, souvent je me demande, comment peut-on oser écrire ?
C’est absurde ! Quelle prétention.

« Et toi, qu’est ce que tu fais dans la vie ? » « Moi ? Je vis. J’écris ce que je suis. Et j’en vis. »

Qui peut se payer le luxe d’écrire pour en vivre, sincèrement ?

15 janvier 2012

Le rendez-vous du dimanche

Bonjour à tous,

J'écris presque chaque jour avec plaisir sur mon blog pour le faire vivre, pour donner à lire des émotions et explorer des sujets variés dans lesquels on peut se retrouver ou pas. Mais je n'ai pas envie de polluer les boites mails de mes abonnés :) C'est pourquoi j'ai décidé de changer la diffusion de mes messages et de privilégier une newsletter hebdomadaire pour faire un seul compte rendu des activités de la semaine!

Pour ceux qui veulent me suivre plus souvent, il reste twitter, facebook ou tout simplement mémoriser l'adresse du blog :)

Comme ça chacun choisit ce qu'il veut, quand il veut, à son rythme. Parce qu'à l'ère d'Internet et de la diffusion rapide, lorsqu'un message nous parvient, si on ne va pas le voir dans la seconde, il part aux oubliettes. Et c'est bien dommage. Perso, je n'aime pas vivre dans le tourbillon de l'instantané, j'aime prendre mon temps. Alors je me dis qu'un rendez vous régulier une fois par semaine, ça fait un petit rituel, et ça laisse le temps de digérer!

Voilà, donc bienvenue à ma newsletter du dimanche, mon nouveau rendez-vous :)

Le dimanche... un bon jour pour bouquiner, un bon jour pour trainer sur la toile une fin d'après midi pluvieuse...Alors suivez-moi!

 

Tout d'abord, je voulais enfin expliquer le fonctionnement de mon blog: 

Ce qui me touche, ce qui me pousse à mettre en mots comme une nécessité, ce sont les émotions, les sentiments, les sensations. Le verbe se prête à mon écriture. C'est pourquoi lorsque j'ai commencé mon blog, j'ai choisi de décliner mes messages autour des verbes, comme autant de couleurs, de vécus, de sensations.

Chaque message est classé dans une catégorie (les catégories s'affichent sur la droite de l'écran):

- Journal de bord, ça c'est quand c'est Géraldine qui parle

- Aimer, à propos des relations humaines, essentiellement amoureuses mais pas seulement.

- Elever, à propos des relations parents/enfants

- Etre

- Jouer, ce sont toutes les vidéos des chansons que j'interprète, au piano, à la guitare, au violoncelle.. directement reliées à Dailymotion

- Rêver

 

Cette semaine, vous pouvez découvrir (ou redécouvrir :)

- Etre: FUMER  ça s'appelle Fumer, ça aurait pu être boire. Ca parle de quand on va trop loin et que le corps nous lâche, quand on part en alcool triste ou en mauvais trip.

- Aimer:  DEMANDER ça parle des mots qu'on aimerait dire et qui restent muets

- Jouer:  Attendez que ma joie revienne, Barbara Une chanson de Barbara avec ma voix et mon piano

 

PS: pour les novices: lorsque les mots sont surlignés ainsi vous pouvez cliquer dessus et vous serez directement dirigés sur le lien :)

 

Bonne lecture à vous!

n'hésitez pas à me laisser des commentaires, en privé ou en public si le coeur vous en dit, ça m'aide à avancer et ça donne l'envie de continuer :)

n'hésitez pas à partager ce blog autour de vous, via facebook ou via vos contacts mails. Internet offre cette possibilité incroyable d'atteindre facilement des gens que l'on ne connait pas, l'effet boule de neige est important pour se faire connaître

 

Bonne semaine à vous et à dimanche prochain !

10 janvier 2012

Demander

Il y avait cette femme. Bénédicte. Et ce samedi-là à ses côtés avait pris son temps. Á parler puis à boire, à boire puis à fumer, et partager encore. Pour aller au plus près de l’autre. Débats passionnés, échanges sincères. S’emporter et se laisser aller. Baisser les armes.

Il y avait eu ces impressions, ce ressenti. Ces regards portés, insistants, cette voix plus douce, ce ton propice à l’intimité.

L’avait-elle réellement frôlé ou bien était-elle simplement passée un peu trop près ? Par inattention ou par familiarité.

Il ne l’avait pourtant pas rêvée cette proximité.

Un désir, un jeu de séduction. Sur un fil, difficilement discernable.

Et depuis, comme une distance entre eux deux. Comme une gêne qui se serait insinuée à ce dernier rendez-vous.

 

Mais non, ce n’était pas possible, il n’y avait rien eu de tout cela. Il divaguait, il s’égarait. Le téléphone entre les mains, il ne lui manquait plus que l'audace pour en avoir le coeur net.

Provoquer une réalité. Crever l’abcès. Sortir du peut-être.

 

Thomas ne sait pas parler.

Il sait parler bien sûr. Mais il ne sait pas se dire avec exactitude.

Avouer ce qui lui plait, ce qu’il veut vraiment, sincèrement, profondément. Confronter ses rêves à la réalité des autres.

 

Et par-dessus tout, il ne sait pas demander. Que ce soit important ou anodin. Que ce soit vis-à-vis de sa femme, son voisin, son chef, sa collègue, ses amis, la caissière ou le serveur de la brasserie du coin.

Que les gens comptent ou qu’ils lui soient étrangers, il ne sait pas demander. « Est-ce que je peux vous envoyer le lien de mon blog ? […] Est-ce que vous pouvez plier mes chemises plutôt que les poser sur cintre ? […] Est-ce que les messages que je t’envoie te touchent ou est-ce qu’ils te gonflent ? […] Est-ce que ma fille pourrait récupérer la corde à sauter que vous lui avez confisquée la semaine dernière?»... « Est-ce que je te plais ? »

Demander est pour lui comme douter de la personne en face, peut-être lui manquer de respect ou la remettre en question. Et puis le silence a l’avantage de laisser toutes les portes ouvertes. Le champ des possibles à l’infini.

Alors que demander dissipe les malentendus. Simplement, spontanément.

 

Thomas n’est ni simple, ni spontané. L’esprit toujours prend le pas sur le reste, prend le contrôle pour censurer la parole. « Bénédicte, dis-moi… juste pour savoir à quoi s’en tenir… y a-t-il de la séduction entre nous ? »

 

Il aurait été tellement plus simple d’en parler sur le moment. La phrase avait tourné dans sa tête pourtant. Cette vieille phrase qu’il connaissait bien pour ne l’avoir jamais prononcée à voix haute. C’était une vieille histoire. Et son cœur palpitait.

Est-ce que tu ressens l’intensité de mon regard sur toi ? Est-ce que tu remarques mon attitude troublée ? Est-ce que c’est ok pour toi cette promiscuité-là ? Mon corps qui te frôle parfois et mon cœur qui bat un peu trop vite ?

Saurais-tu me dire non si je t’importunais ? Me dire je t’aime bien mais ce n’est pas ça que je cherche, ce n’est pas ça qui nous relie. Ton attitude me gêne parfois. Il n’y a pas d’ambigüité entre nous. Jamais. Il n’y en a jamais eu. Je t’aime beaucoup. Restons amis. Saurais-tu me dire cela ?

Me l’as-tu dit déjà et je n’aurais pas su t’entendre ?

 

En avoir le cœur net. Faire la part des choses. Distinguer le fantasme de la réalité.

Dans la réalité, ses mains à lui s’étaient attardées, un peu plus que d’habitude, au détour d’une cigarette allumée ou d’un verre à remplir. Sans être tout à fait sûres d’elles-mêmes. Et puis la culpabilité. La honte aussi. Et le besoin de refouler et de calmer un peu le chaos intérieur.

 

Entre eux avec certitude depuis toujours une immense affection. Il y avait toujours eu l’admiration, le respect, la tendresse.

Mais y avait-il eu aussi le désir ? Qui serait venu s’immiscer.

Y avait-il toujours eu le désir ? À demi-mots.

 

Thomas savait dans son corps malgré lui le trouble, l’excitation. L’amitié se confond-elle parfois, se confond-elle toujours ?

Ce désir était-il en lui, ou lui était-il suggéré par son attitude à elle. Une faiblesse à son égard.

 

Il fallait en parler. Il fallait qu’il sache une fois pour toutes.

Oui mais qu’il sache pour faire quoi, pour aller où ?

 

Est-ce que ça change quelque chose, est-ce que ça change tout ?

 

« Oui, c’est vrai, tu as vu juste, mon regard était plus insistant que d’habitude, mes mains s’attardaient de trop, mes mots te caressaient. Oui, il y avait une hésitation, un désir évident de l’un jusqu’à l’autre. »

 

Et après ?

Qu’est-ce que ça change ? Qu’est-ce que ça fait ?

 

Ça ne change rien. Ça ne fait rien.

Ça va mieux en le disant ou bien justement ça n’existe que parce que c'est tu, parce que c'est suggéré. Maladroitement. On le sait, on le sent, on le provoque, on l’entretient, mais ça ne va pas plus loin.

 

Je te désire. Tu me désires et c’est ainsi. Ainsi que nous fonctionnons. Ainsi que nous nous aimons. Dans le silence de cette attirance contenue.

 

C’est bizarre quand même. Peut-être je me trompe. Peut-être je me prends trop au sérieux. Peut-être je joue tout seul.

Et peut-être pas.

8 janvier 2012

Attendez que ma joie revienne, Barbara

à nouveau une chanson de Barbara avant d'attaquer un Nougaro qui me donne du fil à retordre et qui attendra la semaine prochaine ... :)
Barbara, ça fait 15 ans que ça m'accompagne en disques, mais bizarrement j'ai mis du temps avant de le jouer au piano. La partition trainait dans un coin, je n'avais pas passé le cap. Et depuis que j'ai regardé d'un peu plus près, j'ai vu que c'était abordable et je me suis demandé pourquoi je ne l'avais pas fait plus tôt...

 


Attendez que ma joie revienne, Barbara par gwenruellan

4 janvier 2012

L'Auvergnat, Brassens

 
Cette chanson est une commande de PAULINE. Elle m'a demandé si je pouvais l'interpréter ici en 
souvenir de son grand-père.
J'ai toujours beaucoup écouté Brassens, mais je n'avais encore jamais 
joué une de ses chansons. J'ai donc ressorti ma guitare pour l'occasion ( oui Brassens c'est 
difficilement imaginable au piano ou au violoncelle :)
 


l'Auvergnat, Brassens

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Chansons à textes
Piano / Voix

contact: ninederien@outlook.com

CONCERTS :

- Mercredi 21 septembre 2016 à 20H30
Banc d'essai du Forum Léo Ferré (94)

- Jeudi 28 Juillet 2016 à partir de 20H
Scène ouverte "un été à Eaubonne" sur le parvis de l'Orange Bleue (95)

-Jeudi 21 Juillet 2016 à partir de 20H
Scène ouverte "un été à Eaubonne" sur le parvis de l'Orange Bleue (95)

- Jeudi 16 juin 2016 à parir de 20H
Scène Ouverte asso La Ruche, Forum de Vauréal (95)

- Vendredi 26 février 2016 à 20H30 à la Providence

06000 Nice (Vieux Nice)

- dimanche 7 février à 15h30 au Malongo Café
50 rue Saint André des Arts 75006 PARIS (RER SAintMichel)



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